Page:Tolstoï - Œuvres complètes, vol8.djvu/511

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Page 273, ligne 6. — Au lieu de « … cette douceur paternelle… », lire « cette douceur fraternelle… ».

Page 274, note (1), au bas de la page. — Au lieu de « Bonjour, paresseux ! », lire « Déjà au travail ! ».

Page 300, ligne 8. — Au lieu de « Où diable as-tu mis le tourne-vis ? » lire « Où diable as-tu mis les chaussettes ? ». — Ligne 14. Au lieu de « Mon cher, quand il frappe… », lire « Mon cher, comme il l’a frappé de sa crosse… ».

Page 307, ligne 2. — Au lieu de « serré en cône à la sortie », lire « serré à l’entrée comme dans un entonnoir ».

Page 349, lignes 5-6. — Au lieu de « Vierziehen noch weiter. Der Bosewitch... », lire « Werziehen noch weiter. Der Bösewicht. »

Page 356, ligne 5. — Au lieu de « toute le cour », lire « toute la cour ».

Page 377, ligne 28. — Au lieu de « … et sous-officiers et capitaine », lire « et le sergent-major et le capitaine… ».

Page 378, ligne 2. — Au lieu de « … qui était trop en avant... », lire « qui était le dernier dans la section ».

Page 382, ligne 17. — Au lieu de « … les maisons », lire « des maisons ».

Page 389, note (1), au bas de la page. — Au lieu de « Pelisse courte en peau d’agneau », lire « Pèlerine longue en feutre, vêtement caucasien ». (N. d. T.)

Page 392, ligne 25. — Au lieu de « à l’artificier de garde », lire « au sous-officier de garde ».

Page 393, ligne 13-14. — Au lieu de « le no 1 tenait le refouloir et, les jambes largement écartées, reculait vers la roue », lire « le no 1, qui tenait l’écouvillon, les jambes largement écartées, bondit vers la roue ».

Page 399, ligne 5. — Au lieu de « … un régiment », lire « son régiment ».

Page 402, ligne 9. — Au lieu de « près de la jambe