sales. Une tache essuyée, une autre apparaissait.
Le filleul regarda, regarda, et dit :
— Qu’est-ce que tu fais donc, patronne ?
— Tu ne vois donc pas que je lave pour la fête ? Mais je ne puis pas y arriver. Tout est sale. Je suis exténuée.
— Mais tu devrais d’abord laver la serviette, et alors tu essuierais.
La patronne obéit, et lava ensuite les tables, les bancs : tout devint propre.
Le lendemain matin, le filleul dit adieu à la patronne et poursuivit sa route. Il marcha, il marcha, et arriva dans une forêt. Il vit des moujiks occupés à façonner des jantes. Le filleul s’approcha, et vit les moujiks tourner ; et la jante ne se façonnait pas.
— Que Dieu vous aide ! dit-il.
— Que le Christ te sauve ! dirent-ils.
Le filleul regarda, et vit que le support,