Page:Tolstoï - Correspondance inédite.djvu/110

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400 CORRESPONDANCE lNÉ|)l'l`E je suis bien portant et ne cesse de penser à la i même chose et de m’y préparer. Nous verrous qui de nous s'en ira le premier. Pour nioi, tout d`un coup, par divers indices inipercep- Iibles, notre ame-nature m’est devenue parti- culièrement proche et claire (surtout au point de vue de la mori), si bien que tout d`un coup, _i`ai compris entièrement nos relations et dès lors les apprécie beaucoup plus quauparavant. J’ai tâche d'exprimer ces pensées dans le der- nier chapitre de l’articIe publié dans le numéro d`avril du Messager russe. Je vous en prie, écrivez à Pétia et En Borissov qu’ils viennent sans faute chez moi, au moins pour troisjours. Je sais que cela vous tient au cœur, et moi, sans hâte, sans aucune idée pré- conçue ni desir de contredire, je Finterrogerai _ et vous communiquerai mon impression. Je n’aurai qu’une seule idée préconçuez le plus vif désir de l’aimer pour vous. Vôtre · L. '.l`oLs·roî.