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est impossible aux hommes qui ne comprennent pas le sens de leur vie | 158 |
XXIV. — Le véritable amour est la conséquence du renoncement au bien de l’individualité | 173 |
XXV. — L’amour est l’unique et complète activité de la vraie vie | 182 |
XXVI. — Les efforts que font les hommes pour l’amélioration impossible de leur existence les privent de la possibilité de vivre de la vie véritable | 189 |
XXVII. — La crainte de la mort n’est que la conscience de la contradiction de la vie qui n’est pas encore résolue | 196 |
XXVIII. — La mort charnelle détruit le corps limité dans l’espace et la conscience limitée dans le temps, mais ne peut détruire ce qui forme l’essence même de la vie, le rapport particulier de chaque être avec le monde | 200 |
XXIX. — La crainte de la mort provient de ce que les hommes par leur fausse conception de la vie, l’ayant restreinte, envisagent une parcelle de la vie comme la vie entière | 219 |
XXX. — La vie est un rapport avec le monde. Le mouvement de la vie est l’établissement d’un nouveau rapport plus élevé, la mort n’est que le commencement d’un nouveau rapport | 226 |
XXXI. — La vie des hommes morts ne cesse pas de se manifester dans ce monde | 233 |
XXXII. — Le préjugé de la mort provient de ce que l’homme confond ses différents rapports avec le monde | 244 |
XXXIII. — La vie visible est une partie du mouvement infini de la vie | 253 |
XXXIV. — L’incompréhensibilité des souffrances de l’existence terrestre prouve à l’homme de |