Page:Tolstoï - Imitations.djvu/148

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.


II

MARCHANDISES FRELATÉES


Des hommes qui faisaient le commerce de la farine, du beurre, du lait et autres denrées alimentaires, désireux d’augmenter leur bénéfice et de s’enrichir au plus vite, se mirent à falsifier leurs marchandises au moyen de différents mélanges peu coûteux mais nuisibles : dans la farine ils mirent du son et de la chaux ; dans le beurre, de la margarine ; dans le lait, de l’eau et de la craie.