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ces pieux, Pavel Dimitrievitch ? dit Gouskov. Vous-même, avant-hier n’avez-vous pas failli tomber ?
— Moi, mon petit père, je ne suis pas un subalterne : je n’ai pas besoin d’être leste.
— Il peut traîner les pieds, appuya le capitaine, tandis qu’un subalterne doit sauter…
— Quelle étrange plaisanterie, dit Gouskov à voix basse et les yeux baissés.
L’aide de camp, visiblement furieux contre son protégé, ne perdait aucune de ses paroles.
— Je serai obligé de le renvoyer en sentinelle perdue, dit-il en s’adressant au capitaine.
— Eh bien ! il pleurera de nouveau, dit le capitaine en riant.