Page:Tolstoï - La Famine, 1893.djvu/25

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l’œuvre privée du comte Tolstoï pourrait, avec d’autant plus de raison, bénéficier des sympathies sincères des Français[1].


E. Halpérine-Kaminsky.


  1. Une dernière observation pro domo sua : N’ayant pas de temps à perdre, vu l’urgence du secours à apporter, j’ai dû, dans la hâte du travail, négliger quelque peu la forme littéraire de la traduction de ces écrits de Tolstoï. Que le lecteur me le pardonne en faveur de l’intention.