Page:Tolstoï - La Sonate à Kreutzer trad Pavlovsky.djvu/220

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faisait encore noir, je décidai que je ne pouvais plus demeurer dans cette tension et que je partirais tout de suite. Le train était pour huit heures. Je réveillai le gardien qui me servait et je l’envoyai quérir des chevaux. À l’assemblée du Zemstvo, j’envoyai un mot en disant que j’étais rappelé à Moscou pour une affaire pressante et que je priais qu’on me remplaçât par un membre du Comité. À huit heures, je montai en tarantass et je partis.