Page:Tolstoï - Le Prince Nekhlioudov.djvu/149

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.

son mari avait chassée parce qu’elle n’avait pu travailler de tout le printemps, était assise près du perron et montrait son pied enflé, mal enveloppé d’un torchon sale…

Nekhlioudov, après avoir écouté les doléances des uns, donné des conseils aux autres, opéré des réconciliations, fait des promesses, se réfugia dans sa chambre, accablé sous le poids de la fatigue, de la honte, de son impuissance et de ses regrets.