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on l’est, mieux ça vaut. Je pris les billes et les rassemblai.
Il rougit et me dit :
— On peut encore jouer ?
— Certainement, lui dis-je. Le billard est là pour ça.
Et, sans le regarder, je range les queues.
— Veux-tu faire une partie avec moi ?
— Certainement, Monsieur, lui dis-je.
On remit les billes en place.
— Voulez-vous jouer à passer dessous ?
— Que signifie cela, passer dessous ? me demanda-t-il.
— Voilà, lui dis-je. — Vous me devrez cinquante kopeks si vous perdez, et si je perds, moi, je passerai à quatre pattes sous le billard.
N’ayant jamais vu cela, la chose lui parut étrange. Il se mit à rire.
— Allons ! dit-il.