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mençai à douter de l’infaillibilité de cette croyance et je me mis à l’étudier.
Le premier motif de doute fut le suivant :
Je commençais à remarquer que les prêtres de notre culte n’étaient pas tous d’accord entre eux.
Les uns disaient :
— Nous, nous enseignons ce qu’il faut, et les autres n’enseignent pas le vrai.
Et ils discutaient, se querellaient, se grondaient, se trompaient, s’abusaient les uns les autres.
Il y avait, en outre, beaucoup d’hommes parmi nous qui ne se souciaient même pas de savoir qui avait raison et qui avait tort, ne poursui-