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Page:Tolstoï - Plaisirs cruels.djvu/214

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l ses rnsisinsjcntmns _ vers cette ere supérieure de l’umeur uni- versel qui, nïadmettunt aucune limite, l’at‘-· , franchit de la mort et Pidentilie avec la source de vie. Tout chasseur agit dans un sens diametre- lement opposé; ce n’est pas une fois par hasard, mais toujours, qu`il étoulle en lui le â précieux sentiment de la charité. ll est peu probable quo, parmi los chasseurs, il s’en trouve un seul qui n’éprouvo pas une seule fois au moins, le commencement de la pitié î pour une do ses victimes, mais qui, chaque fois, nechercho à maîtriser ce sentiment, le Q considérant comme une faiblesse. lît c’est ainsi qu’est piétiné le bourgeon à peine éclos de la pitié, dont pourrait pousser et (leurir le E sentiment le plus élevé et le plus parfait de l , l’amour. Dans ce constant suicide moral est le souverain mal de la chasse.