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Page:Tolstoï - Plaisirs cruels.djvu/266

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= cam rnusms enviîîs more bet son enfent? ll sagit, comprenez··le bien', uen pas de sqivre mon premier mouve- ment, mais de decider ce que je dois faire, selon le sagesse et liéquite.

 Mon premier mouvement sera, comme

lorsque je suis otïense, de me venger. Meis ' je dois me demander si ma vengeance sera raisonnable; et je dois rechercher aussi sail est bon d'employer la force contre cette mère qui frappe son enfant. Qu’est-ce qui me · répugne dans cet acte? Qu’est·ce que j’y trouve de mauvais ? Est-ce ce fuit que l’enfa.nt soudre? N’est-ce pas plutot cet autre fait que

 la. mère ressent, au lieu des joies de l’amour

maternel, les tortures de la colère ? Les deux, peut·ètre. Seul, l’homme ne peut faire eucun mal. Le mal agit sur les hommes comme un dissol- vant. C’est pourquoi, si je veux tenter quelque _ [chose, je ne le puis que dans le but de faire disparaitre le dissolvant et de rétablir l’accord