Page:Tolstoï - Plaisirs cruels.djvu/267

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i rnemzssnou nu roi · ssii entre la mère et l’ent`ent. Comment dois·ie procéder dans ce ees? Me livrer ala yioleuoe vis-à.·vis de la mère? Je ne ferai pas dispe- raitre ce qui la sépare de son enfant, je ne ' ferai que commettre une mauvaise action de plus, qui m’éloignera d'elle. Que faire alors? Me mettre à la place de l’ent`ent ‘? Au moins, ce ne seroit pas stupide ! .. i Co que dit Dostoievsky, et ee que m’ont_ repete des moines et des archeveques, me repugne. lls prétendent que faire la guerre et donner son eme pour ses frères est un droit i de défense légitime. J’ai toujours repondu : « Tendre sa poitrine aux coups des autres, ouümais fusiller ses semblables, ce ¢z’esl I pas une défense, c’est une tuerie. » Q Ami, pénétrezwous bien de l’esprit de l’Évangile, et vous verrez que le troisième, eommaudement si bref (Saint Mathieu, · -chap. V, v. 38, 39), si catégorique et si bref, qui ordonne « de ne pas résister au mal, c’est· · 22.