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bonnet des deux mains, et tombe la face contre terre.
— Voilà un gaillard, prononce l’Ancien, il s’est acquis un grand domaine.
Le domestique de Pacôme veut relever son maître, il pousse un cri ; un filet de sang coule à travers des lèvres de Pacôme.
Il est mort !
L’Ancien se remet à rire, il se roule sur le sol ; quand il s’arrête, il dit au domestique :
— Creuse une fosse ici même à ton maître.
Et les Baskirs s’éloignent.
Resté seul, le domestique creuse une fosse pour Pacôme, — de la longueur du cadavre, — cinq pieds à peu près, et il y dépose son maître.