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Page:Tonnellé - Trois mois dans les Pyrénées et dans le midi en 1858.djvu/137

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sada, sur la place de la halle et «le l’église. Sèches devant la, grande cheminée de la cuisine. À huit heures, dîné avec les guides de très-bonne humeur et de bon appétit ; côtelettes et poulets qui ont sauté de la cour dans le plat ; petit vin léger de Catalogne. Ribis éreinté ne mange pas et s’endort sur la table. À dix heures et demie, je gagne mon lit, qui est dur comme une planche.




Lundi, 2 août.


DE VIELLA À CASTANÉJO.


Réveillé à cinq heures. Le temps promet bien ; aucun des guides ne remue. Ribis veut me ramener à Luchon, fait toutes sortes de difficultés pour continuer, prétextant le mauvais temps certain, puis le manque de papiers (pour les chevaux) qu’il faut remettre aux carabiniers