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Rentré à sept heures, et dîné. Écrit mon journal.
Demain, il faut être à Luchon à dix heures et demie, et se lever avant le jour.
Mercredi, 4 août.
DE VÉNASQUE À LUCHON.
Un clair de lune superbe pénètre jusqu’à mon lit. Levé pour le voir au-dessus des toits plats, des maisons noires, des ruelles tortueuses, et des balcons espagnols. Réveillé en retard par Ribis ; nous partons à cinq heures. Un homme de la maison nous accompagne jusqu’au fort, courant devant nos chevaux comme un coureur indien ; rencontré un compagnon, qui se met à nous suivre jusqu’à ce que le chemin nous empêche de trotter. Vigueur et