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pénibles, qui se reposent mieux après la fatigue, et qui vivent plus longtemps.
Je pense donc que l’idée, malheureusement trop enracinée chez les maîtres de poste, les relayeurs de toute espèce, les rouliers, etc., que les chevaux entiers sont plus forts que les chevaux hongres, n’est qu’un préjugé qu’il faut, par tous les moyens possibles, faire disparaître comme s’opposant à l’amélioration générale de l’espèce chevaline.