(6) qui se trouve réappareillé à l’adjectif français : gent, e,
(7) et au substantif des langues d’oc « ïentou »
(8) dont on a formé le proverbe béarnais « Jentous dab ïentous »,
(9) qui fait penser à la loi des XII Tables portée contre les mariages mixtes : « Patribus cum Plebe connubii nec esto. »
(10) Il serait d’ailleurs impertinent d’établir un rapport rigoureux de la toponymie asiatique d’une part, au slang « siam » ou au français populaire « péquin » de l’autre. Il faut se rappeler que celui-ci ne tire point son origine de la capitale chinoise. Il s’apparenterait, plus vraisemblablement, au « pecq, pecque : niais, niaise » des langues d’oc.
(11) qui, du reste, se retrouve dans le français ancien.
— Ce sont là des vérités qu’il est bon de répandre, conclut Firmin, en ajoutant aussi-