sottise de son sexe, y prend plaisir. C'est avec un gracieux sourire qu'il répond:
--Je ne la connais pas, mais je déplore qu'elle ait un costume si mal fait et si long.
--Vous voudriez qu'elle fût toute nue, peut être?
--Sylvère!
--Puisque je sais maintenant les costumes qui vous plaisent, vous verrez comment je me baignerai.
--Je ne pense pas, dit Mariolles d'un air moins gai que tout à l'heure, que vous preniez des bains de mer à Biarritz.
--Et pourquoi pas moi, Tony? Est-ce que je suis difforme, ou si vous avez peur que je me noie?
--J'ai peur qu'on vous regarde. Pensez comme je vais vous laisser défiler devant des paquets de gens, dans ces costumes de Cafrine!
--Tantôt vous le trouviez trop long.
--Mais ce n'est pas la même chose, fait Mariolles rageusement: il sent bien qu'il n'a plus «le meilleur».