D’UN SEIGNEUR RUSSE., 187
- A peu près bien. »
ic paysan soupira, et mit un pied en avant. Mon hôte a sa plume derrière son oreille, et se moucha. çà, qu’est-ce qui t’amène ici’ ? dit mon hôte en remett son mouchoir à carreaux dans sa poche. — Dame, on nous demande des charpentiers, Nicolaî méitch. ’
— Eh bien ! quoi ? Est-ce que vous n’en avez pas ? - Comment n’en n’aulrious-nous pas, puisque c’est un naine boisé, ici ? Mais c’est à présent le temps des trax, Nicolas Éréméitch.
— Le temps des travaux, voilà ce que c’est ; vous aimez ller travailler pour des gens qui ne nous sont de rien ; · is travailler pour la maîtresse, vous n’aimez pas ça. Traller ici, travailler là, qu’est-ce que ça vous fait’ ? — G’est toujours tra, vailler, c’est vrai, Nicolaï Eréméitch.... is pourtant.... ’
— Eh bien, dis, dis.
— Le salaire, ici.... ·
— On donne peu, hein ? Voyez comme vous vous êtes gâen, l’ami ! j
— S’il faut tout dire, Nicolaî Éréméitch, ce qu’il y a à re ici, c’est l’ouvrage de six jours, et on ne vous en fera xmoins perdre un mois. Ou les matériaux manquent, ou n on nous envoie nettoyer les allées du jardin. - Tu ne seras pas à court de raisons, je le sais ; mais st la bârynia elle-même qui a daigné donner l’ordre, et toi ni moi n’avons à délibérer, vois-tu. » tidor se fut, et commença à mettre un pied devant l’autre. Nicolas Eréméitch inclina de côté la tête, et apporta une inde ardeur à ses comptes.
Nos..... moujiks.... Nicolas Éréméitch, dit à la iin Sien appuyant sur chaque mot, ont ordonné de.... donr.... À votre grâce.... voilà ici, vous trouverez.... » ll avait fourré sa grosse main dans son armiak, et il en irait je ne sais quoi d’enveloppe d’une toile bordée en tge à la partie qui entourait le dessus ; c’était peut-être e pièce de toile fine.