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Page:Tourzel - Souvenirs de quarante ans, 1861.djvu/143

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IX


« Je n’ai eu hier que le temps de vous dire, ma chère Joséphine, que ma mère et moi étions hors de péril ; mais je veux vous raconter aujourd’hui comment nous avons échappé aux plus affreux dangers. Une mort certaine m’en paraissait le moindre, tant la crainte des horribles circonstances dont elle pouvait être accompagnée ajoutait à mes frayeurs.

« Je reprendrai l’histoire d’un peu loin ;