Aller au contenu

Page:Tourzel - Souvenirs de quarante ans, 1861.djvu/161

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée

« Madame Élisabeth, à qui l’on venait d’envoyer quelques effets, me donna une de ses robes : elle ne pouvait aller à ma taille ; nous nous occupâmes de la découdre pour la refaire ; tous les jours la Reine, Madame, Madame Élisabeth, y travaillaient ; c’était notre occupation ; mais on ne nous laissa pas le temps d’achever notre ouvrage. »