(3)
Le calcul de sera fait plus tard.
255. – Insertion de moyens. – Insérer moyens géométriques entre deux nombres et
Cela signifie qu’il faut former une progression géométrique dont le premier terme soit le dernier et telle qu’entre \mathrm A et il y ait termes. La progression renfermera donc en tout termes, et avant il y en aura La raison inconnue de cette progression est donnée par la formule (3):
Exemple : Insérer moyens géométriques entre et
D’où la progression :
256. – Remarques. – Un raisonnement analogue à celui que nous avons fait sur les progressions arithmétiques (nos243 et 244), montre que : 1o plus le nombre des moyens insérés est grand, plus la valeur de la raison se rapproche de et plus les valeurs de deux termes consécutifs deviennent voisines ; 2o si l’on insère un même nombre de moyens géométriques entre les termes consécutifs d’une progression géométrique, on obtient une nouvelle progression dont les termes ont des valeurs beaucoup plus voisines que ceux de la progression primitive.
257. – Problème. – Calculer la somme des termes d’une progression géométrique limitée.
Soit la progression
dont la raison est et le nombre des termes Nous avons :
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