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Page:Trent - Litterature americaine.djvu/101

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LA PROSE DE LA DERNIÈRE PÉRIODE COLONIALE 93

d’un Turgot et la loice d’ànie d’un Voltaire. Et pourtant il était né avant tous ces hommes, sauf Chestcrficld et Voltaire. Il représente et résume éminemment la pensée de ce monde naissant que la vieille Europe observait d’un regard dédaigneux. Son mérite et son génie sont évidemment dus en grande partie à ses dons naturels et personnels ; mais ce génie a été développé et mis en œuvre par les influences qu’il subit durant ses années de formation.