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Page:Trueba y Cosío - Gómez Arias, Tome 2, 1829.djvu/172

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gómez arias.

suppliaient leurs camarades de mettre un terme à leurs souffrances ; d’autres, déjà privés de la parole, imploraient leur pitié par un triste regard. Le cœur de Aguilar était profondément peiné par le spectacle de toutes ces douleurs qu’il ne pouvait soulager ; et il traversait à la hâte les ruines de cette ville abandonnée, lorsqu’il fut tout-à-coup arrêté par les cris déchirans d’une femme ; et examinant les localités, il vit qu’ils partaient d’une grande maison qui était près de là et que les flammes venaient d’atteindre. Don Alonzo s’élança à l’instant avec courage vers ce lieu, car il savait plaindre toutes les infortunes, mais sa pitié fut encore plus vivement excitée lorsqu’il distingua clairement que ces cris de douleur était prononcés en langue espagnole. Alors il court, il fend l’épaisse fumée qui entoure la maison, traverse la cour, entre, rencontre l’escalier, le monte avec la viva-