Page:Turgot - Œuvres de Turgot, éd. Eugène Daire, I.djvu/516

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J’ai cru, monsieur, devoir, pour l’acquit de ma conscience, vous communiquer toutes les réflexions que m’a suggérées la crainte de vous voir céder à des propositions que je crois dangereuses, et qui nuiraient au commerce que vous voulez favoriser. Je sais que vous ne désapprouvez pas la liberté avec laquelle je vous expose sans déguisement ce que je crois être la vérité.

Je suis, etc.

fin de l’industrie manufacturière et commerciale.