Page:Turquety - Poésies religieuses, 1858.djvu/66

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Ton peuple qui lutte ici-bas ; Soutiens ton Égliso immortelle " Que l’on atlaque à chaque pas ; Et s’ils criaient jamais que son navire échoue, S’ils croyaient voir sombrer ses pâles matelots, Lève avec ta main celte proue Sur qui débordent tant de flots. Rassure la fouloéploréc, Éclaircis l’horizon lointain, Jusqu’à l’heure si désirée Où nous te rejoindrons enfin ; Jusqu’à l’heure où, lancésloin d’un mondeoù tout passe, Sur l’aile d’un espoir immense, illimité, Nous verrons surgir, faceà face, L’éternelle réalité !


XX.

PRIÈRE.


Mon père, ayez pitié : la vague s’enfle et gronde,
La vague est toute prête à déborder sur eux,