Page:Twain - Le prince et le pauvre, trad Largilière, 1883.djvu/160

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Tom avait repris sa place derrière le chancelier, et tandis qu’il regardait avec bienveillance la foule et les courtisans prosternés sur son passage, il se disait que s’il n’y avait pas plus de mal à dîner en public, il renouvellerait volontiers l’expérience plusieurs fois par jour, pour pouvoir s’affranchir, au moins pendant une heure, des terribles obligations de son métier de roi.