teurs en grande toilette, derrière lesquels
apparaissent, aux portes, dans les corridors,
partout où l’on peut se nicher, nos
domestiques et ceux des invités ; en tout,
près de cent personnes.
Les trois coups sont frappés !
J’avais, figure-toi, une peur horrible ; je me sentais pâlir sous mon rouge. Je ne commençais pas, heureusement. Cette tâche était dévolue à ma tante et à Lucien, qui se tirèrent d’affaire en vrais comédiens. À la sortie de ma tante, j’entendis de nombreux applaudissements ; cela me redonna un peu de courage.
Ah ! ma chère, j’ai parlé trop vite !… Mon tour vient, encore une scène, il me faudra paraître ; les jambes me manquent… Sans X…, placé derrière moi, je crois vraiment que je tombais. J’entends ma réplique ; mon Dieu ! je n’ai plus dans la tête un seul mot de mon rôle… Je me retourne pour fuir,