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LETTRE TRENTE-SEPTIÈME.


Adèle à Albertine.
B…, 12 septembre, 18…

Je suis on ne peut plus heureuse, ma chère Albertine, d’être venue si à propos et si efficacement à ton secours, et de t’avoir aidée, en outre, à découvrir la vocation véritable de ta charmante écolière ; mais puisque son départ laisse encore une fois mon oncle sans emploi, sois assez aimable pour me le retourner immédiatement ; je le remettrai où je l’ai pris, et ma tante, fort