Aller au contenu

Page:Une institutrice de chez nous - Politesse canadienne, c1910.djvu/26

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.


LES ENFANTS


L’enfant est respectueux et soumis envers ses parents et ne manque aucune occasion de leur témoigner son affection.

Un enfant bien né ne peut souffrir que l’on dise du mal de ses parents, qu’on les tourne en ridicule, etc…

Un enfant qui rougit de ses parents, de leur pauvreté, de leur manque d’éducation, ou autre chose, prouve qu’il manque totalement de cœur et de savoir-vivre. On n’a pour lui que du mépris.

L’assistance aux parents, surtout quand ils sont devenus vieux, malades ou infirmes, est un devoir sacré, une tâche d’honneur, pour un enfant. Les vieux parents, que de grâces, de bénédictions, leur présence n’attire-t-elle pas sur nos foyers !