Page:Une institutrice de chez nous - Politesse canadienne, c1910.djvu/35

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tifier leurs espérances ! Elle sait, pour eux, excuser un méfait, fléchir le juste courroux d’un père, et gagner l’indulgence maternelle !

De quel secours, ne leur est elle pas, même parfois au point de vue religieux ? Combien de jeunes gens ne devront qu’à l’influence discrète d’une petite sœur, d’être restés fidèles à leurs devoirs de chrétien !

Ô douceur et puissance de l’amour fraternel, tu peux tout vaincre, et faire violence au Ciel Lui-même !