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Page:Une institutrice de chez nous - Politesse canadienne, c1910.djvu/40

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C’est bien chez elle, dans l’intérieur de sa maison, que la femme a le plus de charmes réels, au milieu des siens ! À qui, en effet, doit-elle de se montrer le plus aimable, si ce n’est pour son mari, pour ses enfants ? Pour qui se pare-t-elle ? si ce n’est pour eux, qui la trouvent si bonne, la voudraient conserver toujours aussi jeune, aussi jolie !