Page:Urfé - L’Astrée, Quatrième partie, 1632.djvu/17

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car, si jusques dans le fonds des cloistres il s’est treuvé des juges dont la severité a condamné des ouvrages que je n’ay leus qu’à genoux, que dois-je attendre de tous les hommes, moy qui conçois sans artifice, et qui n’ay point d’art pour m’exprimer? Veuille ma bonne fortune que cette conclusion d’Astrée que je te donneray dans peu de jours, treuve pour moy quelque indulgence en ton humeur, comme je desirerois avoir treuvé les occasions de te plaire et de te servir. Adieu.

BARO [7/8]