Aller au contenu

Page:Urfé - L’Astrée, Seconde partie, 1630.djvu/325

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée

s’y arresta si long temps, que cependant ne pouvoir demeurer inutile, je vis Criseide, et si je la vis, je l’aymay. Et à la verité elle le meritoit ; car je ne croy pas que jamais estrangere eut plus d’attraits, n’y fut plus capable de donner de l’amour qu’elle.