gauloise, ronde, reflétant la rusticité de la vie saine, une femme qui ignore le génie et Fart de son seigneur, qui ne voie en lui qu’un « drôle de monsieur » qu’elle aime bien, qu’elle délasse, qu’elle amuse, qu’elle soigne avec une passion de gouvernante, chez qui elle apporte l’éclat de son rire bruyant comme une fanfare et toutes les couvaisons muettes et bienfaisantes de sa tendresse infinie.
Rien que cela. — Fi ! dira-t-on… quelle vulgarité ! une bonne alors !…. une servante !
Peut-être bien. — Ne rêvez plus, mesdames ! Écoutez chanter le rossignol, n’essayez pas de vivre en son nid.
— On peut dire que la femme noblement amoureuse est rarement libertine. Le libertinage baisse à mesure que l’amour domine. Là où celui-ci s’éteint, celui-là se réveille. C’est surtout lorsque le cœur se blase, que les sens s’envasent.
— Un admirable proverbe italien dit : « La femme n’est pas au semeur, mais au coupeur. » No semiatore, ma tagliatore. — Il faut que le semeur