à moins que l’exiguïté de la justification ne l’exige, comme par
exemple autour d’une gravure ou dans les entêtes de tableaux,
ou bien encore dans les notes et additions marginales ;
2ᵒ La division des syllabes de trois lettres et moins doit être proscrite lorsque cette division forme une fin d’alinéa. C’est ce que, en langage typographique, on appelle une ligne de voleur ;
3ᵒ On évitera de commencer une ligne par une syllabe muette[1], sauf lorsque cette syllabe se compose de plusieurs lettres, comme dans les troisièmes personnes du pluriel des verbes :
4ᵒ On ne divisera pas :
mais lorsque l’apostrophe est suivie d’une consonne, la division est admise :
5ᵒ Les verbes conjugués interrogativement doivent être divisés avant le t euphonique :
6ᵒ La division entre deux voyelles ne peut être permise que dans les mots composés, lorsque la partie de mot mise à l’autre ligne forme un mot complet, comme :
7ᵒ On ne peut couper un mot avant ou après un x ou un y, lorsque la première de ces lettres réunit deux voyelles et que la seconde a la valeur de deux i.
On ne divisera donc pas :