Page:Vallat - L’Éducation du peuple après l’école, 1898.djvu/44

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nécessaire pour en faire des hommes probes, sages, suffisamment instruits, capables d’être utiles à eux-mêmes, à leurs semblables et à la patrie. L’amour de la famille, du travail, de la patrie, et le sentiment religieux qui consiste à croire le vrai et à aimer le bien, voilà les conditions primordiales de prospérité et de bonheur pour chacun de nous comme pour le peuple entier.

Je me résume. « Fais ce que dois », fermement convaincu que la bonne conduite, le travail et la persévérance n’échouent jamais, et, que tu deviennes un jour un grand imprimeur (je le désire de tout mon cœur pour la réalisation du beau rêve de ta pauvre mère, et je n’y vois rien d’impossible : l’illustre Franklin avait bien commencé comme toi) ou que tu restes un mo-