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n’a-t-il pas quelques traits de ressemblance avec Panurge ?
Je dis plus, j’envisage l’avenir : quand un écrivain de talent, même de génie, voudra faire revivre la vieille gaîté gauloise en livrant à la moquerie la sottise, les erreurs et les vices des hommes, soit sur la scène, soit dans la littérature, c’est encore à Rabelais qu’il devra demander quelques-unes de ses meilleures inspirations.
FIN