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Mon cœur ne trouve le repos,
Ni le jour ni la nuit muette.
Dieu n’a-t-il donc pour le poëte
Que l’obscur sommeil des tombeaux ?
Septembre 1853.
Mon cœur ne trouve le repos,
Ni le jour ni la nuit muette.
Dieu n’a-t-il donc pour le poëte
Que l’obscur sommeil des tombeaux ?