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Page:Van Hasselt - Nouvelles Poésies, 1857.djvu/180

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« Quand soufflera la bise,
« Et les enfants riront à vous voir flamboyer
« Parmi la cendre grise ;

« Tandis que je serai trône dans un palais,
« Colonne dans un temple,
« Ou nef, que l’Océan, peint de mille reflets,
« Dans son miroir contemple. »

Amis, ne prenons point exemple à ces jaloux
Qui n’ont qu’un but futile ;
Mais tâchons de laisser, homme ou chêne, après nous
Quelque chose d’utile.



Septembre 1856.