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« Ton petit frère alors se réveille et s’étonne,
« Ouvrant ses ailes vers les cieux.
« Et tous s’en vont, ainsi que s’envole en automne
« Une troupe d’oiseaux joyeux.
« Enfant, il est là-haut, où pour nous deux il prie.
« Et nous l’y reverrons un jour.
« Mais il faut, pour entrer dans la sainte patrie,
« Aimer Dieu de tout notre amour. » —
Janvier 1854.