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L’adieu de la fiancée.

SUR UNE VIEILLE MÉLODIE ALLEMANDE.





Lebe wohl, lebe wohl, mein Lieb !
xxxxxxxMuss noch heute scheiden.
Uhland.





 
La montagne encor, de brouillard couverte,
Livre aux vents glacés son sommet transi.
Et le val déjà met sa robe verte.
Vois l’hiver là-haut, le printemps ici.

Quand l’oiseau de mai pend son nid aux branches,
Quand de frais parfums l’air est embaumé,