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Aux Étoiles.
Und wüssten sie mein Wehe,
Die goldnen Sternelein,
Sie kämen aus ihrer Höhe,
Und sprächen Trost mir ein.
Die goldnen Sternelein,
Sie kämen aus ihrer Höhe,
Und sprächen Trost mir ein.
H. Heine.
Ô splendeurs du ciel, douces fleurs de l’ombre,
Lis épanouis,
Qui brillez là-haut, qui brillez sans nombre
Au jardin des nuits !
Sous la main de Dieu blanches fleurs écloses
Au matin des jours,