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LA TERREUR DU FOUET

l’affaire mauvaise. Il pensait là-dessus et il voulut en avoir pour son argent.

Il avait posé sa main sur un genou de Marthe. Celle-ci, tout à coup, s’en avisa et, avec un grognement de colère, elle écartait, d’un mouvement brusque, la main audacieuse qui retomba. M. Nicolas très étonné, car il avait cru la petite tout à fait maniable à présent, ne savait que dire. Il fallait pourtant qu’il dit quelque chose, il s’y résolut et bafouilla :

— Voyons ! Soyez plus gentille. Vous voyez bien que je suis dans l’intention de tout faire pour vous plaire.

— Hi ! Hi ! Hi ! Alors… Alors faites-moi… Hi ! Hi !… Faites-moi sortir de cette abominable maison.

— Mais cela ne dépend pas de moi, chère enfant. Que voulez-vous que j’y fasse ?

— Alors… Hi ! Hi !… Alors, si… Si vous ne… Hi ! Hi ! ne pouvez pas… Hi ! Hi ! Laissez… Laissez-moi tranquille !

— Comment, que je vous laisse tranquille ? Cela