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Page:Varez et Mardelle - Frédéric, duc de Nevers, 1810.djvu/23

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{ >3 > ‘\t8 I M P L S T.\t.\t.\t. N’ayez nulle inquiétude. Est-ce que j’peu amais devenir un instrument.\t'\t'\t" ,\tEVRARD,\t’ Tais-y bien attention... il y a quelquefois des grands qui s’emparent de nous, pour servir leurs intérêts 5 qui nous mettent en avant, nous font agir, et» si leurs projets vien¬ nent à échouer , ils disparaissent, et c’est nous qu’on punit. SIMPLET. Comment? quand ils ne réussissent pas il s disent qu’c’est d*not’ faute. C’est-il Dieu possible! EVRARD. Certainement, et nous payons pour eux. simplet. Et nous payons pour eux.... c’est-à-difrè <Jue si Pseigneur Raoul ne réusait pas, je payerai pour lui ? r\t1 EVRARD.\t■ Qu’as-tu dit ?... le seigneur Raoul l simplet.\t. Heim !... Pseigneur Raoul. EVRARD. C’est donc lui qui ordonne ces préparatifs ! SIMPLET. Comment ?\t. EVRARD. ‘\t'\t' Comment !..feh ! tu viens de le dire. simplet. J’ai dît ça !... j’ai dit ça !... Eh ben ! c'est une fière bê¬ tise que j’ai dit là..« vous êtes sûr que j’Pai dit ? .\t; EVRARD. Eb ! sans cela , comment le saurai-je ? simplet.\tt Ab ! c’est vrai..» Allons, allons, j’Pai dit, au surplus vous êtes mon frère... eb ben , oui \ c’est l’seignenr Raoul qui fait les frais de c’te fête , pour que la Duchesse lui en sache gré, et qu’elle soit plus disposée à l’épouser : c’est là son but. EVRARD.\t. Te Pau rai s parié qu’il y avait une intrigue sous jeu... et c’est sans doute pour se faire bien venir dés habitans qu’il lés régale aujourd’hui et qu’il a fait préparer cette fête. s 1 M F l x T.\t’ " C’est ça.\t. EVRARD. Va, rien n’est moins certain que son mariage avec la Du¬ chesse.\t.\t■\t> simplet.\t. ' Ma foi? tant pis pour lui. Dans tous les cas , c’est tqu-