t \ / t ■J( »B ) S C E NE V I I I. 1 EVRARD. Que va-t»il fairp ?... Quel trouble l’agite J la fureur se peint sur tous ses traits... O mon maître !r que ta situation est affreuse 9 et combien if est pénible pour t,on cœur de douter de la fidélité de ton épouse î Mais on vient... O mon Dieu î ,(// va précipitamment former la parte de la chaumière,} Ab 1 c’e$t Simplet, cherchons à l’éJoigner. SCENE IX. S IM PL E T v E V H A R D. SIMPLET. Mon frère! mon frère ! v’ià la Duchesse... v’ià monsieur Raoul! .v’ià tout l’monde... ça fait un cortège... Il y a des gardes... des pages... Ahl c’est magnifique. E V B A B D. Et tu as quitté tout cela, toi, l’ordonnateur de la fête ? simplet. Je retourne : c'était pour vous, avertir et voir si Août était en ordre. E T B A B D. Oui i oui| sois tranquille... mais va.\t, simplet. Personite n’a touché... EVRARD. > Non> non, personne, va donc. »\tSIMPLET. Je pars,., et c'est moi qui... Ah ! queu fête ! queu fête ! (// tort et Frédéric paraît,) S C E N E X. EVRARD 9 FRÉDÉRIC , sortant de la chaumière. p r é d i R î c. Viens 9 Evrard..• aide moi. Si tes perfides sontunis par l’amour, que l’on sache aussi qu’ils le sont par le crime. E V B A B ». Que voulez-vous faire ? p r é d é b i c. Viens 9 te dis-je ? ( il fait un geste de foreur* et, aidé par Evrard, il atteint Vinscription, et remplace le mot amour par le mot crime qu’il a écrit dans la chaumière, il replace les guirlandes;} Voilà, voilà ce qui convient à ces monstres! Toi, mon ami, tiens mon retour secret jusqu’à la nuit.: que D zedby Google
