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Page:Varez et Mardelle - Frédéric, duc de Nevers, 1810.djvu/7

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  • > paraît se lasser de m’être favorable } au moment ou , par

» le résultat d,es plus hardis calculs , une femme charmante » et une fortune,immense allaient m’appartenir, un obstacle » .s’est présenté. Pars aussitôt la réception de ma lettré, et viens me trouver au château de Nevers. Raoul. » Le billet ’est parvenu hier; j’avais vingt lieues à faire et me voici, cette célérité, il reconnaîtra ce zèle dont il paraît se res^ souvenir... Mais j’entends quelqu’un, serait-ce déjà ?... Oui, c’est lui même. Allons , voilà ce qui s’appelle mener vive¬ ment qne affaire. 5\tC E N E V. R A O L, S I M P L E T, T H I B A U T.* simplet, avant de paraître. Par ici... tenez , monsieur l’Chevalier , le v’ià. 6\ta o u l , entrant. C’est toi y mon cher Thibaut. THIBAUT. Oui y seigneur. simplet, à Raoul. Vous voyez que j’vous l’avais ben désigné... l’air sour¬ nois... la mine barbarative.^ THIBAUT. Hé! SIMPLET.\t')- Dam 1 je n’savais pas vot’ nom... 11 fallait ben vous faire reconnaître par queuque chose. > a o u t. Il suffit, laisse-nous... Ah î n’oublie pas surtout , dans tous les cas où le sire de Couci arriverait, de m’en avertir. -\t< SIMPLET. Soyez tranquille , je n’y manquerai pas, j’vais l’guétter. a A O u L. C’est bon. -SIMPLET. Comme ça , vous n’avez plus besoin d’moi. RAOUL. Non. SIMPLET.\tg J’vous gênerais peut-être si j’restais ? a a o u l. Oui... retire toi. SIMPLET. Je ^faitf un plaisir d’vous obéir. ( Simplet tort* ) Digitized by Google