Page:Variétés Tome II.djvu/324

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l’aigle les rayons du soleil, et tu verras le cruel supplice qui t’est preparé, te faisant estre à jamais le plus miserable des miserables serviteurs des serviteurs.

« D’Alchier. »

Ces avaleurs de charettes ferrées, estant de retour, se menacent de loing et protestent (avec blasphesme de mesme estoffe que leurs discours) qu’à la première rencontre ils se traicteront reciproquement d’une façon dont personne n’a jamais entendu parler, et cependant furent aussi honteux, lorsqu’ils se virent, que des loups quy sont pris au piége, et n’y eut autre carnage pour ceste fois.